jeudi 4 mai 2023

Reprendre l'avion sans avoir peur grâce à l'hypnose

 Plus d'angoisse ! La peur de l'avion peut disparaître avec l'hypnose !

Cela fait des années que je travaille avec succès en hypnose pour supprimer la peur de l'avion. Les grandes vacances sont l'occasion de reprendre l'avion pour visiter des pays un peu plus lointains que ce que l'on peut visiter en train ou en voiture... Sans oublier que la peur de l'avion peut-être aussi un risque professionnel important. C'est le moment de travailler avec un professionnel averti et efficace. 

Ci-dessous un nouveau post pour démystifier l'hypnose et pour vous montrer le chemin de la confiance et enfin se libérer de cette angoisse de l'avion.

La phobie de l'avion est une peur intense et irrationnelle de voyager en avion, qui peut causer de l'anxiété, de la panique et même de l'évitement des voyages en avion. Bien que cela puisse sembler un obstacle difficile à surmonter, l'hypnose est une méthode de traitement efficace pour aider les gens à surmonter leur peur de l'avion.

L'hypnose est une méthode de relaxation profonde qui permet à un individu d'accéder à son subconscient pour reprogrammer les pensées et les comportements négatifs. Avec la phobie de l'avion, l'hypnose peut aider une personne à reprogrammer sa réponse à la peur en associant des sentiments de calme et de détente à la pensée de voler.

Les bénéfices de l'hypnose pour la phobie de l'avion sont nombreux. Tout d'abord, l'hypnose peut aider une personne à atteindre un état de relaxation profonde, ce qui peut réduire l'anxiété et la tension physique associées à la phobie de l'avion. Cela peut aider à réduire les symptômes physiques tels que les battements de cœur rapides, la transpiration excessive et la respiration rapide et superficielle.

De plus, l'hypnose peut aider une personne à changer sa perception de la peur de l'avion. En utilisant des techniques de visualisation, une personne peut apprendre à imaginer des scénarios de vol positifs et agréables, ce qui peut aider à réduire la peur et l'anxiété. L'hypnose peut également aider à reprogrammer les pensées négatives qui peuvent déclencher la phobie de l'avion, comme la peur de l'accident ou de l'enfermement.

Enfin, l'hypnose peut aider à renforcer la confiance en soi et l'estime de soi. Lorsque la phobie de l'avion est vaincue, une personne peut se sentir plus confiante dans sa capacité à surmonter d'autres défis dans sa vie. Cela peut aider à renforcer l'estime de soi et à améliorer la qualité de vie globale.

En conclusion, l'hypnose est une méthode de traitement efficace pour la phobie de l'avion. Elle peut aider à réduire l'anxiété et la tension physique associées à la peur de l'avion, reprogrammer les pensées négatives et renforcer la confiance en soi. Si vous souffrez de phobie de l'avion, l'hypnose peut être une option de traitement efficace pour vous aider à surmonter cette peur et à profiter des avantages du voyage en avion.

Jean-Luc Tourenne
www.hypnose.com
121, Rue La Fayette
75010 Paris
tel. 01.42.81.00.05

 

La perte de poids et le changement des habitudes alimentaires avec l'hypnose

 Un rappel avec cet article sur la puissance de l'hypnose pour perdre du poids et modifier son alimentation sans faire forcément un régime :

La perte de poids peut être un défi pour de nombreuses personnes, et il existe de nombreuses méthodes différentes pour essayer de perdre du poids. L'hypnose est une méthode qui a gagné en popularité ces dernières années pour aider les gens à perdre du poids. Dans cet article, nous explorerons les avantages de l'hypnose pour la perte de poids.

L'hypnose est une technique thérapeutique qui utilise des suggestions verbales pour aider les individus à atteindre un état de relaxation profonde. Dans cet état, l'esprit est plus réceptif aux suggestions et peut être plus facilement influencé pour adopter de nouveaux comportements. Les praticiens de l'hypnose utilisent souvent cette technique pour aider les gens à surmonter des habitudes négatives ou à changer leur comportement.

L'hypnose peut aider à la perte de poids de plusieurs façons :

  1. Réduction de l'appétit : Pendant l'hypnose, les suggestions verbales peuvent aider à réduire l'appétit. Les praticiens peuvent utiliser des affirmations pour aider les individus à se sentir rassasiés plus rapidement, ce qui peut réduire la quantité de nourriture qu'ils consomment.

  2. Modification des habitudes alimentaires : Les suggestions verbales pendant l'hypnose peuvent aider les individus à modifier leurs habitudes alimentaires. Les praticiens peuvent aider les gens à développer des habitudes alimentaires plus saines, comme manger plus de légumes et moins de sucreries.

  3. Augmentation de la motivation : L'hypnose peut aider les individus à se sentir plus motivés à perdre du poids. Les praticiens peuvent utiliser des suggestions pour renforcer la motivation et l'engagement envers un mode de vie plus sain.

  4. Gestion du stress : Le stress peut être un facteur contributif à la prise de poids. L'hypnose peut aider à réduire le stress et à améliorer la qualité du sommeil, ce qui peut aider à réduire la quantité de nourriture que les gens consomment.

Plusieurs études ont été menées sur l'efficacité de l'hypnose pour la perte de poids. Une étude publiée dans la revue International Journal of Clinical and Experimental Hypnosis a révélé que les individus qui ont reçu une thérapie par l'hypnose ont perdu plus de poids que ceux qui n'ont pas reçu de thérapie par l'hypnose. Une autre étude a révélé que l'hypnose peut aider à maintenir la perte de poids à long terme.

En résumé, l'hypnose peut être une méthode efficace pour aider les individus à perdre du poids. Les suggestions verbales peuvent aider à réduire l'appétit, à modifier les habitudes alimentaires, à augmenter la motivation et à gérer le stress. Si vous envisagez de perdre du poids et que vous recherchez une méthode non invasive, l'hypnose peut être une option intéressante à explorer. Cependant, il est important de travailler avec un praticien qualifié pour garantir des résultats optimaux.

 

Jean-Luc Tourenne
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mardi 31 janvier 2023

Traiter l'éreutophobie par l'hypnose - Article universitaire - ⓒ Jean-Luc Tourenne www.hypnose.com

 

Traiter par l’hypnose l’éreutophobie, cette peur de rougir, et par-là,

 le rougissement lui-même* 

(article de recherche universitaire ⓒ 2021 Jean-Luc Tourenne)

 

Dans son ouvrage le « Moi-peau » Didier Anzieu, tout comme Freud auparavant, théorise la peau comme « la limite physique du monde psychique » (Anzieu, 1985).  Il formalise ainsi l’idée de l’expression physiologique des émotions. A la suite de cette lecture, une partie de la dermatologie française orienta mieux les patients vers des pratiques non médicales. Ainsi, la psychothérapie entra dans le champ des maladies de peau et parmi elles : l’éreutophobie. Les causes de l’éreutophobie, cette peur obsédante de rougir, ne seraient donc pas uniquement d’ordre physiologique. Ce trouble anxieux qu’est l’angoisse de rougir et sa fréquente conséquence qu’est le rougissement du visage lui-même, sont des souffrances psychiques durables vécues par les éreutophobes comme un handicap. Les conséquences sociales de l’éreutophobie sont nombreuses : manque de confiance en soi, peur du regard des autres, auto-sabotage personnel ou professionnel et mènent souvent à des conduites d’évitement ou d’exclusion sociale. Selon certains auteurs, elle concernerait une population importante, puisqu’elle toucherait plus de 2% de la population générale. (Amies et Ginsburg, 2012).

Les réponses de la médecine conventionnelle sur l’éreutophobie sont toutefois considérées comme ponctuelles et non pérennes car essentiellement basées sur les bétabloquants ou les anxiolytiques. La solution chirurgicale de la sympathectomie est une possibilité controversée qui n’a pas fait ses preuves (HAS, 2007), non validée par la Haute Autorité de Santé et tend à disparaitre. A l’inverse, depuis Milton Erickson, les psychothérapies et notamment les thérapies cognitives, et essentiellement l’hypnothérapie, semblent proposer des solutions intéressantes sur l’éreutophobie ou d’autres symptômes liés à l’anxiété. Il apparait donc que les thérapies non allopathiques et non conventionnelles, comme les thérapies cognitives et l’hypnose, peuvent potentiellement solutionner ce type de problématiques liées aux troubles anxieux.

L’éreutophobie : un trouble anxieux particulier

L’éreutophobie se caractérise par une peur obsessionnelle de rougir en public. Elle s’accompagne presque systématiquement d’un épisode de rougissement du visage lors d’une prise de parole en public, quel que soit le nombre d’auditeurs et quel que soit le contexte, privé, social, bien que le plus souvent dans le domaine professionnel.

Déjà Claparède (1902), élève de Janet, et plus récemment de nombreux chercheurs comme Pelissolo et Remillieux (2012) définissent l’éreutophobie comme un trouble anxieux, une forme clinique de l’anxiété qui partage avec elle nombre de ses caractéristiques de souffrances et symptomatiques. Selon eux, ce trouble n’est ni un symptôme, ni un sous-type de l’anxiété sociale, mais il évolue dans sa sphère. Ils vont ainsi dans le sens du DSM-V américain (Manuel Diagnostique et Statistiques des troubles psychiques). La peur de rougir et le rougissement sont perçus comme la conséquence d’un manque de confiance en soi et d’une menace dans la sphère sociale ou professionnelle, ainsi pour Stein et Bouwer (1997) : « Il y a souvent une vision exagérée du statut inférieur de soi et du statut élevé des autres, et une surestimation de la menace sociale éventuelle. ». Les conséquences psychologiques vécues par l’éreutophobe sont aussi nombreuses que communes à l’anxiété sociale ou d’autres formes de troubles anxieux spécifiques : manque pathologique de confiance en soi, exclusion sociale, sabotage professionnel, angoisses, dépression, toxicomanie ou alcoolisme pour se sentir plus à l’aise, suicide etc… Dans le cadre de son travail sur l’éreutophobie le Dr. Valla (2015) fait état de 45% de dépressions majeures et de 15% de passages à l’acte suicidaire.

Bref historique de l’hypnose en psychothérapie

Bien que pratiquée de plus en plus régulièrement en médecine conventionnelle, comme en hypnoanalgésie (prise en charge de la douleur) ou hypnosédation (anesthésie), nous nous intéressons dans cet article à l’hypnose dans le cadre de la psychothérapie (hypnothérapie). L’hypnose chemine de longue date en parallèle avec la psychanalyse et la psychologie, car Charcot et Freud ont été parmi les premiers à l’initier en médecine moderne. Le psychiatre nord-américain Milton Erickson est considéré comme le fondateur de l’hypnose clinique ou de l’hypnothérapie, en postulant que, dans une thérapie mettant en jeu un thérapeute et un patient, ce dernier peut mobiliser des ressources internes pour amener conscient et inconscient à travailler de concert et provoquer les changements souhaités.

Hypnose : définition et protocole

La définition de l’hypnose est un état modifié de conscience où la vigilance de la personne se trouve altérée, sans que ce soit un état de sommeil. Dans cet état particulier où certaines zones du cerveau sont mobilisées inconsciemment par le sujet, celui-ci se voit présenter : « … une communication, avec une compréhension et des idées, pour lui permettre d’utiliser cette compréhension et ces idées à l’intérieur de son propre répertoire d’apprentissages » (Erickson, 1980).

Le protocole d’une séance d’hypnose peut se résumer ainsi : mise en « transe »  (état particulier de profonde relaxation) du sujet par l’hypnothérapeute, suggestions et/ou visualisations et/ou dialogue, réveil post-hypnotique. Mais, mieux que décrire le menu détail d’une séance d’hypnothérapie, on comprend mieux ce qui se joue lors d’une séance dans les mots de Bioy (2005) : « L’élaboration demandée au patient n’est pas une élaboration intellectuelle, mais à partir de percepts corporels, avec en soubassements les liens entre psyché et soma. Si les perceptions du corps changent, évoluent, c’est aussi que consécutivement un travail psychique s’effectue… ».

Les neurosciences et l’hypnose

Depuis près de 30 ans grâce au développement de l’imagerie médicale, les neurosciences s’intéressent à l’hypnothérapie en évaluant le rôle de certaines zones du cerveau dans la pratique de l’hypnose et son efficacité. Spiegel et Hoeft (2012) de l’université de Stanford démontrent que chez les sujets fortement suggestibles et hypnotisables, « le cortex cingulaire antérieur dorsal et le cortex préfrontal dorsolatéral (DLPFC) fonctionnent en parallèle pour mobiliser simultanément l’attention, la concentration et le contrôle exécutif » (Hoeft et al, 2012). En découlerait, selon ces études, que l’hypnose augmenterait les connexions entre le DLPFC et l’insula, en facilitant, par exemple, lors de divers types de pensées dans un environnement donné, des réactions émotionnelles et physiologiques liées. L’hypnose serait donc potentiellement, sur la foi de ces premiers constats, une réponse efficace, totale ou partielle, à l’éreutophobie.

 

Quelques articles scientifiques commentés, pour aller plus loin…

Kirsch, I. Montgomery, G. Sapirstein, G. (1995) Hypnosis as an adjunct to cognitive-behavioral psychotherapy: a meta-analysis. J. Consult. Clin. Psychol, 1995, Vol.63, (2), p.214-220

Cette méta-analyse de 18 études démontre que 70% des personnes ayant bénéficié d’une double thérapie par TCC et hypnose ont vu le traitement de leur problématique amélioré par rapport au groupe n’ayant bénéficié que de séances de TCC. Cela confirme que l’hypnose potentialise fortement certaines psychothérapies. Aussi dans quelle mesure l’hypnose comme thérapie seule serait-elle efficace sur certains troubles ou symptômes observables physiquement ?

Stetter, F. Walter. et al. (1994). Ambulatory short-term therapy of anxiety patients with autogenic training and hypnosis. Results of treatment and 3 months follow-up. Psychother Psychosom Med Psychol, 1994, Vol.44, (7), p.226-34.

Est mis en évidence ici l’efficacité directe de l’hypnose sur l’anxiété. Ainsi en parallèle de l’étude du traitement par le Training Autogène de Schultz, considéré comme proche du traitement par l’hypnose, l’étude sur les sujets traités par la méthode de l’hypnothérapie conclue de l’effet positif de l’hypnose sur le trouble anxieux des 27 patients ayant participés et que « les mesures psychométriques, le niveau d'anxiété (STAI. Laux et al. 1981) et le vécu subjectif, les plaintes dues à l'anxiété ont été considérablement réduites dans les deux traitements de manière significative ». Après trois mois les résultats ont montré une réduction de l’anxiété à un niveau stable ou que cette réduction est devenue plus importante. La fréquence des crises avait elle-même décrue.

Provencal, S. Bond, S. Rizkallah, E. El-Baalbanki, G. (2018). Hypnosis for burn wound care pain and anxiety : A systematic review and meta-analysis. Burns, 2018, Vol.44, (8), p.1870-1881. DOI: 10.1016/j.burns.2018.04.017

Cette méta-analyse en dermatologie porte sur les souffrances de brulés graves et leur état d’anxiété. Elle met en évidence l’efficacité significative de l’hypnose dans les soins. Les chiffres sont encourageants pour qui étudie l’hypnose dans sa relation à la souffrance dermatologique et l’anxiété engendrée car ils révèlent d’importantes réductions avec des groupes de contrôle qui sont en moyenne de 8.90% sur des échelles de souffrance et de 21.78% sur des échelles d’anxiété.

Bibliographie

Anzieu, D. (1985). Le Moi-peau. Dunod.

Amies, P. et Gelder, M. (1983). Social phobia : a comparative clinical study. Br.J Psychiatry, 1983, Vol.9, p.142-174. DOI 10.1192/bjp.142.2.174.

Bioy, A. (2005). Hypnose, psychothérapies et psychologie clinique. Perspectives Psy, 2005, Vol.44, p.346-354

Claparède, E. (1902). L’obsession de la rougeur. A propos d’un cas d’éreutophobie. Archive de psychologie de la Suisse Romande, 1902, p.307-334

Erickson, M. Rossi, E. (1980). L'intégrale des articles de Milton H. Erickson : De la nature de l'hypnose et de la suggestion, Irvington.

Ginsburg, G. Riddle, M. et Davis, M. (2007). Somatic symptoms in children and adolescents with anxiety disorders. Brown University Child & Adolescent Behavior Letter, 2007, Vol.23, p.3-4.

Hoef, F. Gabrieli, J. Whithfield-Gabrieli, S. et al. (2012).  Functional Brain Basis of Hypnotizability. Arch Gen Psychiatry, 2012, (10), p.1064-1072. DOI: 10.1001/archgenpsychiatry.2011.2190

Kirsch, I. Montgomery, G. Sapirstein, G. (1995) Hypnosis as an adjunct to cognitive-behavioral psychotherapy: a meta-analysis. J. Consult. Clin. Psychol, 1995, Vol.63, (2), p.214-220.

Pelissolo, A. Lobjoie, C. (2012). Résultats d’une thérapie comportementale et cognitive de groupe spécifique de l’éreutophobie. L’Encéphale, 2012, (38), p.345-350. DOI : 10.1016/j.encep.2012.01.011 

Provencal, S. Bond, S. Rizkallah, E. El-Baalbanki, G. (2018). Hypnosis for burn wound care pain and anxiety : A systematic review and meta-analysis. Burns, 2018, Vol.44, (8), p.1870-1881. DOI: 10.1016/j.burns.2018.04.017

Spiegel, H. Spiegel, D. (2004). Trance and Treatment : Clinical Uses of Hypnosis. American Psychiatric Publishing.

Stein, D. et Bouwer, C. (1997). Blushing and social phobia neuroethological speculation. Medical hypotheses, 1997, Vol.49, (1), p.101-108. https://doi.org/10.1016/S0306-9877(97)90260-7

Stetter, F. Walter. Et al. (1994). Ambulatory short-term ther- apy of anxiety patients with autogenic training and hypnosis. Results of treatment and 3 months follow-up. Psychother Psychosom Med Psychol, 1994, Vol.44, (7), p.226-34.

Cet article est issu d’un travail universitaire © Jean-Luc Tourenne 2021 et ne peut être reproduit sans mention du lien de l’auteur et sans autorisation de l’auteur.

 

Jean-Luc Tourenne
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mercredi 21 décembre 2022

Nouveau système de prise de rendez-vous en ligne Résalib

 Bonjour à tous,

J'inaugure sur mon site www.hypnose.com un nouveau système de prise de rendez-vous en ligne.

Pour réserver un rendez-vous à partir du planning en ligne sur Résalib, n'hésitez pas à vous inscrire, c'est d'une facilité déconcertante.

A bientôt.

Jean-Luc Tourenne
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Est-ce qu'avec l'hypnose je peux avoir plus de cadeaux à Noël

Ha... là vous me collez ! Essayez sur le Père Noël, vous voulez son numéro de mobile ?

En tout cas je vous souhaite à tous, que vous croyiez ou pas au Père Noël, une Joyeux Noël et une Bonne Année 2023 (ne regardez pas trop la tv...) !

Jean-Luc Tourenne
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mercredi 28 septembre 2022

Extrait d'un article universitaire sur la peur de rougir, le rougissement du visage et l'éreutophobie

 Chers amis,

Pour aller plus loin sur l'angoisse de rougir et comment travailler sur l'éreutophobie, vu sous un angle scientifique, je vous partage un extrait d'un travail universitaire que j'ai effectué il y a quelques années dans le cadre de mes études en psychologie.

J'y parle notamment du lien entre le rougissement et les possibilités de guérison par l'hypnose.

https://rougissement-visage-ereutophobie.fr/

 Bonne lecture !

Jean-Luc Tourenne

 



samedi 3 septembre 2022

Vous souhaitez une reconversion ? Avec Hypnose.com la seule formation en hypnothérapie orientée pratique et en ligne

Bonjour,

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Cordialement,

Jean-Luc Tourenne